Editions : Pocket – PKJ
Pages : 584
Sortie : 05/01/17
Prix : 18,90€

Simon n’a rien, mais vraiment rien de l’Élu. Et pourtant, il faut avancer, car la vie continue…

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Simon Snow déteste cette rentrée. Sa petite amie rompt avec lui ; son professeur préféré l’évite ; et Baz, son insupportable colocataire et ennemi juré, a disparu. Qu’il se trouve à l’école de magie de Watford ne change pas grand-chose. Simon n’a rien, mais vraiment rien de l’Élu. Et pourtant, il faut avancer, car la vie continue…

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Si vous avez remarqué ma note plus haut, vous avez dû vous apercevoir que je n’ai en fait pas noté le livre et ça signifie… que je n’ai pas réussi à le terminer. Et oui, malheureusement, j’ai eu beau insister, ça ne passait pas et après 200 pages qui m’ont parues bien longues, j’ai préféré passer mon chemin.

Je précise que je n’ai pas lu Fangirl qui est le livre de base de celui-ci. En effet, on y fait la connaissance de l’auteure et on a aussi quelques extraits de la fanfiction sur Simon Snow qui a donné le livre dont je vous parle. Du coup, je ne sais pas si c’est dû à ça mais en tout cas, quand j’ai commencé le roman, j’ai eu l’impression d’avoir manqué quelque chose d’assez conséquent.

On est plongé dans un univers dès les premières pages et j’avais la sensation de ne rien comprendre et surtout qu’on ne m’expliquait pas les choses ! Je me suis même demandée si le héros n’allait pas se réveiller à un moment et nous sortir le fameux “tout ceci n’était qu’un rêve”.

Après, je ne dis pas que le roman est décousu. On sent que l’auteure a voulu créer un univers complet avec des personnages auxquels on puisse s’attacher. Chacun a un caractère bien distinct, limite cliché, mais ça permet d’avoir des échanges originaux.

Je pense que le gros point noir, c’est la ressemblance avec Harry Potter. Les références sont tellement nombreuses et évidentes que ça me sortait de l’histoire à chaque fois. J’avais eu la même sensation avec Tara Duncan. L’univers n’était pas mal, les personnages aussi, mais impossible de ne pas faire le parallèle au fur et à mesure du roman, du coup : difficile de vraiment se plonger dedans.

Un élément qui m’a aussi beaucoup gênée et qui a fait que j’ai préféré m’arrêter est l’histoire en elle-même. Elle met un temps fou à réellement démarrer et même quand on se dit “ça y’est, on y est enfin”, et bien non, pas encore tout à fait. J’ai insisté dans la lecture, 200 pages c’est déjà une bonne partie du livre (la première intégralement et une partie de la seconde), mais décidément rien n’y fait, on tourne autour du pot et ça m’a ennuyée.

Je suis toujours triste d’abandonner une lecture. Etant de nature curieuse, j’ai souvent l’envie de savoir ce qui va se passer à la fin et comment on va arriver à ça. Ici, je n’ai même pas eu cette envie, ce qui montre que la connexion ne s’est vraiment pas faite entre lui et moi. Le rythme, les références, l’histoire, le tout fait que je ne peux pas aller jusqu’au bout, et je ne vous parle même pas des formules magiques… “Tirez-moi d’là !”

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– Ma mère dit que personne ne sait vraiment d’où tu viens et que tu es
peut-être dangereux.
– Et pourquoi tu ne l’as pas écoutée ?
– Justement parce que personne ne sait d’où tu viens, et que tu es
peut-être dangereux !
– Tu as l’instinct de survie le plus catastrophique du monde.

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Le site officiel de l’auteure
Titre VO : Carry on
En rapport : Fangirl

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